Le 3 novembre 2022, les V-Label Awards internationaux ont eu lieu pour la deuxième fois. Les meilleurs produits véganes ont été élus dans 17 catégories lors de la cérémonie en ligne – avec des lauréats tels que Migros, Givaudan, Lidl et Alver.
Notre campagne « La politique suisse et ses contradictions », assortie de la pétition « Cessons les contradictions : halte au soutien politique accordé aux produits d'origine animale ! » (voir ci-dessous), arrive aujourd'hui à terme. Cela n'aurait pas été possible sans l'aide de nos membres, ainsi que des bénévoles et des militant-e-s qui nous ont soutenus activement en distribuant des flyers et en récoltant des signatures.
Dans son dernier rapport, la Commission fédérale d'éthique pour la biotechnologie dans le domaine non humain (CENH) se prononce en faveur d'une réduction du nombre d'animaux de rente en Suisse et demande que davantage de nourriture végétale soit cultivée pour la consommation humaine. Swissveg soutient cette revendication.
La tendance à la hausse de ces dernières années se poursuit : en Suisse, selon les résultats d'un nouveau sondage, plus de 300 000 jeunes et adultes mangent végétarien en 2022, tandis qu'environ 42 000 sont véganes. Les alternatives à la viande, en particulier, connaissent un essor considérable.
Swissveg annonce chaque année le nombre actuel de personnes végétariennes et véganes en Suisse. Les chiffres publiés par Swissveg constituent l'analyse de tendance la plus complète sur la scène végane et végétarienne suisse.
La Suisse a la réputation d'avoir la loi sur la protection des animaux la plus stricte du monde. Mais comment définir le degré de sévérité d'une loi sur la protection des animaux ? Comment le mesurer ? Dans les faits, il s'avère que la Suisse ne se positionne pas si bien que cela en comparaison avec les autres pays : on constate de grosses lacunes dans la mise en œuvre et le point de vue des animaux est trop souvent négligé.
Plus de 400 universitaires issus d’une quarantaine de pays et spécialisés en philosophie morale et politique proclament, au vu de l’état actuel des connaissances dans leur champ d’expertise, le caractère foncièrement injuste de l’exploitation animale : « Nous condamnons l’ensemble des pratiques qui supposent de traiter les animaux comme des choses ou des marchandises.