Les terres et l'espace sont pollués par l'élevage. L'avidité de la viande se propage même dans les régions les plus isolées du monde.
Qu’entend-on par biodiversité ? En quoi concerne-t-elle le végéta*isme ?
En deux mots, la biodiversité est l’expression de la variété de la vie. Elle implique notre obligation de préserver notre écosystème ainsi que l’ensemble des formes vivantes et des patrimoines génétiques de la planète. A cet égard, le végétarisme apparaît comme le mode de vie le mieux à même de préserver la nature.
Lors d'une critique de la consommation de viande, le contre-argument indiqué est souvent la prétention de ce que dans nos régions montagneuses, rien d'autre ne peut être cultivé à part la viande. On prétend alors que d'un point de vue écologique, il serait sensé de consommer de la viande. Pour éviter la diffusion ce malentendu, nous présentons les vraies possibilités de culture idéale pour les régions montagneuses. Contre-arguments à l'idée reçue de ce que la seule forme agricole possible en montagne, ce serait l'élevage.
Les menaces qui planent sur les terres cultivables partout sur la planète se multiplient. Dans le monde entier, les récoltes diminuent parce que les sols sont épuisés. La productivité faiblit de même que la fertilité de la terre. Les causes à l’origine de cet affaiblissement des sols sont nombreuses et vont de la surexploitation à l’abus d’engrais en passant par les résidus d’antibiotiques. A propos d'une entreprise agricole sans élevage, expériences et rapports impressionnants.
Gaspillage de terres agricoles
Plus de 70% des terres agricoles suisses sont utilisées pour la culture de matière fourragère.
Tant qu'il n'y a que quelques animaux vivant dans leur biotope naturel, leurs excréments sont un engrais importants pour le sol. Cependant, la grande demande de viande, de lait et d'oeufs a conditionné le fait qu'on élève un nombre croissant d'animaux sur des surfaces toujours plus petites. A ce faire, les sols ne peuvent plus absorber les quantités énormes d'excréments animaux.